Un point sur l'indonésie.

Publié le par ryback

Les fonctionnaires Indonesiens ont confirmé une autre mort humaine de la souche H5N1. Ils étudient également si une infirmière de l'hôpital des maladies infectieuses de Jakarta a attrapé le virus tout en traitant un patient.

La mort d'une jeune femme 19 ans originaire de la périphérie de Jakarta améne le compte officiel des morts H5N1 confirmés, à cinq, bien que les experts occidentaux disent ils croient qu'au moins deux autres personnes soient mortes du virus et que beaucoup de décès n'aient pas été pris en compte .

Quatre autres personnes - comprenant un nouveau cas, un parent agé de 8 ans de la jeune femme de 19 ans -ont été également confirmées comme étant atteint de H5N1.

Cette augmentation des cas en Indonésie arrive, tandis que les donateurs internationaux se reunissent aujourd'hui à Genève à une conférence menée par L'OMS pour préparer une réponse globale face à
l'accélération de la menace d'une pandémie H5N1.

L'Indonésie, avec son système de santé sans ressources, sa tradition de ventes de volaille vivantes, et 300millions environ ou plus de poulets vivant dans les arrière-cours, est considérée un des points faibles dans le combat contre H5N1.

Jakarta a été lent pour réagir à la menace du virus. La manière péniblement lente et souvent opaque avec laquelle l'Indonésie compte les cas humains necessite un cri d'alarme,disent les experts occidentaux.

La jeune femme de 19 ans dont la mort a été ajoutée au tableau officiel au cours du week-end est morte en réalité le 28 octobre, une semaine avant qu'elle n' ait été considérée comme un cas de H5N1 avéré . C'est en partie du aux méthodologies de l''OMS - des résultats positifs sur deux tests séparés sont exigés par elle pour certifier des cas de H5N1.

Mais les fonctionnaires indonésiens ont compté sur un laboratoire de l'OMS de Hong Kong dont les resultats mettent une semaine pour revenir. Les experts occidentaux disent que les tests sont realisables en Indonésie et que les resultats ne demanderaient que 6 H pour revenir...cependant les officiels ont preferé le labo de Hong Kong, ce qui est source d'attente pour les patients, leur famille, ainsi que pour les experts traquant la progression de virus et sa possible transmission inter humaine.

TRADUCTION de l'article ci-dessous / anne
http://www.theworldpress.com/presse/pressemonde/presseindonesie/jakartanews.htm



Publié dans H5N1 EN ASIE

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